Réussir l’édition de son mémoire de master : quelques conseils 

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Rédiger et remettre son mémoire de master représente l’aboutissement de plusieurs années d’études et de recherches. Au-delà du contenu académique, la qualité de l’impression du mémoire joue un rôle crucial dans l’évaluation finale du travail qui sera faite par le jury. Un mémoire soigneusement édité témoigne du professionnalisme et de la rigueur de l’étudiant, et facilite la lecture pour le jury. Depuis la mise en page jusqu’à l’impression finale, chaque étape mérite une attention particulière pour valoriser au mieux votre travail. Pas question d’improviser pour éditer votre mémoire : suivez nos conseils pour proposer à votre jury un mémoire qui reflètera l’excellence de votre travail personnel et vous permettra d’obtenir votre diplôme avec mention !

Avant tout, contrôlez l’absence de plagiat dans votre mémoire !


Face aux risques de plagiat, les universités se sont dotées d’outils qui permettent de déterminer si un étudiant s’est fortement “inspiré” ou pas de documents préexistants. La réponse est souvent implacable et si une fraude est détectée, l’étudiant est empêché de présenter son mémoire et d’obtenir son diplôme ; dans certains cas pendant plusieurs années. Afin de vous assurer que votre mémoire ne contient pas – volontairement ou involontairement – des passages qui pourraient être identifiés comme du plagiat par les outils universitaires, n’hésitez pas à “pré-tester” votre document. Des sites en ligne proposent cette fonctionnalité, tel que BachelorPrint. L’idéal est d’anticiper le plus possible cette phase car il n’est pas impossible que vous soyez amenés à devoir rédiger de nouveau des pans entiers de votre travail…

La mise en page et la typographie, des indispensables pour mettre en valeur votre travail


Vous êtes étudiant dans une faculté de science et rédigez un mémoire très technique sur les effets d’un médicament, par exemple ? Le sujet, un peu aride, peut décourager le lecteur s’il n’est pas correctement mis en avant. L’idée n’est pas de décorer artificiellement votre pensée, mais de mettre en valeur les idées forces, c’est-à-dire les raisonnements qui synthétisent votre réflexion et en sont le centre. Choisissez une police sobre et lisible pour le corps du texte (comme Times New Roman ou Arial), en respectant une taille standard (11 ou 12 points). Puis, maintenez un interlignage aéré et des marges suffisantes pour les annotations. Et surtout soyez cohérent dans vos choix typographiques : titres, sous-titres, citations, notes de bas de page doivent suivre une logique visuelle immédiatement perceptible.

La relecture et l’impression : le point d’orgue


La phase finale d’édition du mémoire, qui est souvent négligée faute de temps, s’avère déterminante pour la qualité perçue de votre travail. En effet, organisez-vous en amont pour demander à des proches – étudiants ou professeurs – de relire votre travail. Cela permettra de détecter les éventuelles erreurs d’orthographe ou de grammaire, ainsi que de numérotation. Le recours a plusieurs regards permettra de détecter les moindres coquilles qui vous auraient échappées. N’oubliez pas non plus de prévoir une vérification minutieuse des versions numériques (PDF notamment) pour vous assurer que la mise en page reste stable et que tous les éléments s’affichent correctement. N’hésitez pas à vous faire accompagner par des professionnels pour l’impression !